A.Q. , Sud Ouest (France), 29 novembre 2013

Elle chantait les étoiles du Sud, son soleil intérieur, la malédiction de l’Ascension, l’amour jusqu’à l’ultime seconde et les aurores boréales. Paule-Andrée Cassidy est un feu d’artifice à elle toute seule, elle revendique « la tendresse pour unique richesse », la colère, ce fleuve de sang ainsi que les mots de rage quand elle « hémorrage ». Sa voix sait se faire douce, fluette même puis forte et puissante, caressante et cinglante.

Norbert Gabriel, Nos Enchanteurs (France), 24 novembre 2013

C’est ce qui reste après cette soirée au Limonaire, une allégresse certaine qu’on a partagée avec les voisins de table. Une sorte de bonheur diffus qui nous incite à croire que le monde est beau et amical… Et si ça se trouve, ça pourrait être vrai.

Bernard Keryhuel (France), 11 septembre 2013

Paule-Andrée Cassidy prend la scène comme on embrasse la vie, avec un enthousiasme communicatif. Tour à tour bouleversante, provocante, corporelle à souhait, artiste qui projette et retient avec mesure des mots qu’elle puise au plus profond d’elle-même, offerte et réservée à la fois, cabrée ou propulsée par les mots et les rythmes, les patiences et les impatiences, elle mélange dans un climat de grâce affirmée et volontaire une manière d’être qui oscille entre attitude rock et présence réaliste, entre rage contenue et âme à la tendresse. Une élégance vocale sublimée par un délié des gestes.

Elle est à mon avis la Patti Smith de la chanson francophone: même détermination, même force vitale, même flux et reflux dans les rafales du désir, de la lucidité ou du désenchantement.

Patrice Demailly, Nord-Éclair (France), 25 juin 2012

Pour des raisons de santé, la fabuleuse Anne Sylvestre n’a pas pu prendre l’avion. La fête en son honneur n’a pourtant rien de plombant. Bien au contraire. Elle est souveraine grâce à l’onirisme gracieux de Jorane, l’élégance divine de Paule-Andrée Cassidy et l’aplomb de Mathieu Lippé.

Geneviève Bouchard, Le Soleil (Québec), 17 juin 2012

Le plus grand coup de coeur va certainement à Paule-Andrée Cassidy, toujours aussi intense, touchante et entière, qui a à maintes reprises fait honneur à la grande poésie d’Anne Sylvestre. Et comme l’interprète semble avoir transmis son talent à sa fille, on a pu savourer un superbe duo familial avec La femme du vent.

Si les hommes n’ont pas eu à rougir de leur hommage, hier, les femmes étaient particulièrement en voix… et à l’aise dans le répertoire. Avec Mmes Cassidy et Jorane à l’avant-scène, elles ont collectivement livré une version d’Une sorcière comme les autres à nous faire tomber en bas de notre chaise.

Beryash, bloggeur (Russie), 27 mars 2012

Paule-Andrée Cassidy est entrée en scène, et, ce qui est pourtant loin d’être évident, elle a immédiatement conquis tous les coeurs. Sa voix est chaude, souple et profonde.

Paule-Andrée Cassidy est québécoise, mais son répertoire compte des chansons suisses, françaises, belges, et québécoises bien sûr. Elle a une plastique très expressive qui donne vie à chacune de ses chansons. Il faut dire que dans un premier temps, la chanteuse a étudié le pantomime et commencé une carrière théâtrale.

Son spectacle était en deux parties, mais pas un seul instant le contact avec le public n’a été rompu. Au contraire, chacun ressentait qu’elle chantait juste pour lui.

Elmak, bloggeur (Russie), 24 mars 2012

Je ne parvenais pas à comprendre à qui elle me faisait penser. Je me suis posé la question pendant exactement deux chansons. La troisième chanson elle l’a chantée en espagnol, et là tout c’est devenu évident: elle a tout d’une héroïne d’Almodovar.

Ce qu’elle fait est d’une puissance incroyable. Chaque chanson est un mini-spectacle. Les mains, les pieds, le corps tout entier chante. Elle a une plastique originale, tout comme ses mimiques.

Deux heures se sont littéralement envolées et le public ne voulait pas la laisser partir.

Alain de Repentigny, La Presse (Québec), 17 février 2012

Parmi les très beaux moments de ce disque, mentionnons l’apaisante Berceuse pour Julie de Judi Richards, Les mots du dimanche joliment chantée par Mitsou, Les éléments qu’interprète Bïa sur la guitare atmosphérique de Sylvain Quesnel, et l’étonnante Chanson de l’eau à saveur jazzée servie par la voix chatoyante de Paule-Andrée Cassidy.

Geneviève Bouchard, Le Soleil (Québec), 11 février 2012

Paule-Andrée Cassidy a encore prouvé hier qu’elle est dotée de qualités d’interprétation hors du commun et qu’elle sait prendre ses aises dans un répertoire aussi riche que varié. Avec aplomb, elle passe de la langue de Molière à celle de Cervantès, du français «français» de Barbara au joual de Daniel Boucher (dans une très belle version remaniée de Poète des temps gris).

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